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Le journal du vieil Alès. 2

Cote/Cotes extrêmes

BIB 816

Date

2013

Modalités d’acquisition

Achat librairie Sauramps (avril 2013)

Auteur

Lieu d’impression ou de fabrication

Alès

Nom d’imprimeur ou de fabricant

Impr. Com'Impact Impression

Type de présentation matérielle et importance matérielle

205 p. ; 21 cm ; ill.

Notes sur le contenu

Table des matières :

Place Saint-Jean, la graineterie centenaire (p. 9-10) - Après la guerre, la Pédale Indépendante Alésienne (P.I.A.) a relancé le cyclisme (p. 11-12) - Les Allemandes et le quartier d'Alsace (p. 13-14) - Au temps de la mine, le pont de la Royale (p. 15-16) - La maison Chalier est dans le domaine du commerce des grains et fournitures agricoles une vieille enseigne alésienne (p. 17-18) - La rue d'Avéjan au milieu du siècle dernier (p. 19-20) - L'éclairage des rues et l'usine électrique (p. 21-22) - Les Polonais venus dans les mines cévenoles (p. 23-24) - Le Noël d'autrefois des petits en Cévennes (p. 25-26) - La rue Deparcieux dans les années 1950 (p. 27-28)  - La rue Mandajors au milieu du siècle (p. 29-30) - Tradition séculaire, la foire de la Saint-Antoine (p. 31-32) - Richard-Ducros ou l'âge d'or industriel à Alès (p. 33-34) - La rue des Hortes et la rue du 14 juillet, jadis (p. 35-36) - La rue Blancharde et la rue des Nauliers, image d'Alès autrefois (p. 37-38) - Louis Courtois et son Grand Bouillon Moderne (p. 39-40) - Les établissements Courtois au temps des Solex et Vespa (p. 41-42) - L'oeuvre de la Miséricorde du Second Empire à nos jours (p. 43-44) - La Brasserie de l'Empire était le fief de l'Olympique Alésien (p. 45-46) - L'Empire était autrefois le lieu de rendez-vous de tout Alès (p. 47-48) - Elections : les candidats, jadis, s'affrontaient au théâtre (p. 49-50) - Election au Conseil Général en 1911 : l'urne jetée dans le Gardon par un électeur furieux (p. 51-52) - L'avenue Carnot : son histoire au siècle dernier (p. 53-54) ; une artère vieille de près de deux siècles (p. 55-56) ; avenue bordée, de chaque côté, de platanes (p. 57-58) ; du boulevard Gambetta à la Déroussine, jadis (p. 59-60) - La glorieuse époque du basket alésien au temps de l'A.B.C. (Alès Basket Club) (p. 61-62) - Quand les filles de l'A.B.C. (Alès Basket Club) faisaient la gloire du basket cévenol (p. 63-64) - La pena Ricard, ambassadrice de la musique populaire (p. 65-66) - Les Eclaireurs unionistes vont fêter leurs cent ans d'existence (p. P; 67-68) - Quand les lavandières faisaient la lessive au bord du Gardon (p. 69-70) - Louis Pasteur vint à Alès étudier la maladie du ver à soie (p. 71-72) - La bijouterie Roux, bientôt centenaire n'a pas pris une ride (p. 73-74) - Le boulevard Louis Blanc au milieu du siècle dernier (p. 75-76) - Le boulevard Louis Blanc, au temps de ses vieilles anciennes de commerce (p. 77-78) - La vierge de l'Ermitage et celle de Rochebelle  veillent sur la ville (p. 79-80) - En descendant le boulevard Louis Blanc jusqu'à la rue Saint-Vincent (p. 81-82) - Quand Alais, ville de garnison, avait ses propres troupesd (p. 83-84) - Les anciens commerçants d'Alés connurent, jadis, un bel essor : Aux Elégantes - A la ville de Nice - A la ville de Paris - Au Petit Paris - A la Belle Jardinière - Aux 100 000 Paletots - A la Grande Maison - Maison Robert Peyre - Au Louvre - Mercerie veuve Niquin - Maison A. Martel - A l'Epargne (p. 85-86) - La Sous-Préfecture d'Alès, plus de deux siècles d'existence (p. 87-88) - Ces vieux commerces disparus : Champeyrache Blanc - Aux Dames de France, Paris-Alès - Au Gaspillage, maison Lamarque - A la Cité, maison Maubon - Parisiana - Maison Dizier - Bouchara - Faïsse, tissus - Au Printemps - Régina - Au Sans Pareil - Au Myosotis - Maison Edmond Trellis - Vaute, instruments de musique (p. 89-90) - La rue Sauvages, autrefois, côté pair, ses nombreux commerces (p. 91-92) - Alphonse, comme Moïse sauvé des eaux, dans son berceau (p. 95-96) - Hôtels, restaurants, les bonnes adresses d'Alès, autrefois : Le Riche-Hôtel - Grand Hôtel du Luxembourg - Grand Hôtel - Grand hôtel Terminus - Modern Hôtel - Hôtel du Mont-Dore - Hôtel du Nord - Hôtel de Paris - Bouillon Duval - Restaurant de l'Evêché (p. 97-98) - Bouchaïd, fan de l'Olympique Alésien (p. 99-100) - Le commandand Xavier de la Mareille, figure de jadis (p. 101-102) - Alais et la Grande Guerre 1914-1918 : extraits du carnet du poilu alésien, le caporal Eugène Bayle, mort au Front en 1915 (p. 103-104) -  La musique des pupilles des sapeurs-pompiers d'Alès (p. 105-106) - Le Fort Vauban domine la ville (p. 107-108) - Les heures douloureuses du Fort Vauban sous l'Occupation (p. 109-110) - Noël en Cévennes, autrefois (p. 111-112) - Jour de l'An cévenol, autrefois (p. 113-114) - Les grands cafés d'autrefois à Alès, disparus de nos jours : Grand Café de France - Le Grand Café - Café de Paris - Café de la Bourse - Café de la Terrasse - Café Bar Express - Café du poids public - Grand Café d'Europe - Café du Luxembourg - Café des Palmiers (p. 115-116) - La gare routière date de 1956 (p. 117-118) - Ces statues et bustes disparus (p. 119-120) - L'Ermitage, ancien oppidum, haut-lieu chargé d'histoire (p. 121-122) - L'hiver terrible en février 1956 (p. 123-124) - Le C.A.M.A. (Cercle Amical des Mineurs d'Alès) , un club de légende (p. 125-126) - Le pont de Rochebelle, dit du marché, sept siècles d'histoire (p. 127-128) - Le pont Vieux est le plus ancien des ouvrages sur le Gardon (p. 129-130) - Quand Rochebelle était en fête sur la place Rouge : en 1948, l'Entente rochebelloise a organisé une fête de quartier qui a duré dix jours (p. 131-132) - L' Etoile sportive des Métaux de Tamaris, un club de légende (p. 133-134) - Les " enfants de l'hôpital ", jadis, travaillaient la terre à Servas (p. 135-136) - La colonie de Servas accueillait aussi les filles de l'hôpital (p. 137-138) - Quand Tamaris faisait la fête à Pentecôte, place des Forges (p. 139-140) - Quand le coeur de Tamaris battait au rythme de l'usine (p. 141-142) - Tamaris, place de l'église, rue Pressensé (p. 143-144) - Monarchistes et Républicains s'affrontaient pour les élections (p. 145-146) - La Royale, au temps de la mine (p. 147-148) - Ces anciens commerces très prisés des alésiens, jadis : Maison Louis Blachère - Au Grand Saint-Antoine, charcuterie fine - Cabane et Folcher, boucherie - Maison Etienne Mouriès, alimentation - Maison Gardès - Morue brandade, E. Jeanjean - Maison Arnal - Maison Bosquier, fruits, légumes, primeurs - Antoine Terrada - Maison Louis Polge, confiserie - Crèmerie Coulet - Alimentation Médard (p. 149-150) - Le Bosquet, havre de verdure (p. 151-152) - La ligne Alais-Nîmes : construite pour le transport du charbon (p.153-154) ; ouverte au service des voyageurs en 1840 (p. 155-156) - Quand Alès accueillait le Tour de France ; évocation de l'alésien Ferdinand Payan (p. 157-158) - Le 14 juillet autrefois à Alès (p. 159-160) - La rue Rollin au siècle dernier (p. 161-162) - Jean-Baptiste Dumas, candidat en juillet 1846, aux législatives (p. 163-164) - Congés d'été, jadis, au temps de l'exploitation des Houillères (p. 165-166) - En été, le Gardon et le Galeizon étaient très prisés des alésiens (p. 167-168) - La J.S.A. (Jeunesse Sportive Alésienne), club mythique du basket local (p. 169-170) - L'école et les rythmes scolaires (p. 171-172) - Le 1er octobre, c'était la rentrée (p. 173-174) - Jadis, la Jeunesse Sportive Alésienne (J.S.A.) était présente sur tous les fronts du sport régional (p. 175-176) - L'Etoile sportive saint-martinoise fut un club (de football) phare du Bassin (p. 177-178) - La mairie, un des plus beaux et anciens bâtiments de la ville (p. 179-180) - La rue du Doyenné est une des plus anciennes ruelles de la ville (p. 181-182) - La rue La Fare-Alais est une des rares vieilles artères d'Alès (p. 183-184) - Quand Aès comptait 6 cinémas : le Casino, le Capitole, le Rex (tout d'abord le Familia), le Lux, le Royal, le Rio, auxquels on peut ajouter le Vox de Tamaris (p. 185-186) - Le Monuments aux morts d'Alès date de 1925 (p. 187-188) - A travers le vieil Alès jusqu'au milieu du siècle dernier (p. 189-190) - Ce vieux marché, hélas disparu (p. 191-192) - Les quais, protection de la ville contre les colères du Gardon (p. 193-194) - Les belles sorties, jadis, sous le patronage de l'abri Saint-Joseph (p. 195-196) - Les fêtes de Noël, autrefois en Cévennes (p. 197-198) - Jour de l'An sous l'Occupation (p. 199-200) - Les très riches heures de l'auberge du Coq Hardi (p. 201-202).
          

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