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Achat librairie Sauramps (avril 2013)
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Type de présentation matérielle et importance matérielle
Notes sur le contenu
Table des matières :
Place Saint-Jean, la graineterie centenaire (p. 9-10) - Après la guerre, la Pédale Indépendante Alésienne (P.I.A.) a relancé le cyclisme (p. 11-12) - Les Allemandes et le quartier d'Alsace (p. 13-14) - Au temps de la mine, le pont de la Royale (p. 15-16) - La maison Chalier est dans le domaine du commerce des grains et fournitures agricoles une vieille enseigne alésienne (p. 17-18) - La rue d'Avéjan au milieu du siècle dernier (p. 19-20) - L'éclairage des rues et l'usine électrique (p. 21-22) - Les Polonais venus dans les mines cévenoles (p. 23-24) - Le Noël d'autrefois des petits en Cévennes (p. 25-26) - La rue Deparcieux dans les années 1950 (p. 27-28) - La rue Mandajors au milieu du siècle (p. 29-30) - Tradition séculaire, la foire de la Saint-Antoine (p. 31-32) - Richard-Ducros ou l'âge d'or industriel à Alès (p. 33-34) - La rue des Hortes et la rue du 14 juillet, jadis (p. 35-36) - La rue Blancharde et la rue des Nauliers, image d'Alès autrefois (p. 37-38) - Louis Courtois et son Grand Bouillon Moderne (p. 39-40) - Les établissements Courtois au temps des Solex et Vespa (p. 41-42) - L'oeuvre de la Miséricorde du Second Empire à nos jours (p. 43-44) - La Brasserie de l'Empire était le fief de l'Olympique Alésien (p. 45-46) - L'Empire était autrefois le lieu de rendez-vous de tout Alès (p. 47-48) - Elections : les candidats, jadis, s'affrontaient au théâtre (p. 49-50) - Election au Conseil Général en 1911 : l'urne jetée dans le Gardon par un électeur furieux (p. 51-52) - L'avenue Carnot : son histoire au siècle dernier (p. 53-54) ; une artère vieille de près de deux siècles (p. 55-56) ; avenue bordée, de chaque côté, de platanes (p. 57-58) ; du boulevard Gambetta à la Déroussine, jadis (p. 59-60) - La glorieuse époque du basket alésien au temps de l'A.B.C. (Alès Basket Club) (p. 61-62) - Quand les filles de l'A.B.C. (Alès Basket Club) faisaient la gloire du basket cévenol (p. 63-64) - La pena Ricard, ambassadrice de la musique populaire (p. 65-66) - Les Eclaireurs unionistes vont fêter leurs cent ans d'existence (p. P; 67-68) - Quand les lavandières faisaient la lessive au bord du Gardon (p. 69-70) - Louis Pasteur vint à Alès étudier la maladie du ver à soie (p. 71-72) - La bijouterie Roux, bientôt centenaire n'a pas pris une ride (p. 73-74) - Le boulevard Louis Blanc au milieu du siècle dernier (p. 75-76) - Le boulevard Louis Blanc, au temps de ses vieilles anciennes de commerce (p. 77-78) - La vierge de l'Ermitage et celle de Rochebelle veillent sur la ville (p. 79-80) - En descendant le boulevard Louis Blanc jusqu'à la rue Saint-Vincent (p. 81-82) - Quand Alais, ville de garnison, avait ses propres troupesd (p. 83-84) - Les anciens commerçants d'Alés connurent, jadis, un bel essor : Aux Elégantes - A la ville de Nice - A la ville de Paris - Au Petit Paris - A la Belle Jardinière - Aux 100 000 Paletots - A la Grande Maison - Maison Robert Peyre - Au Louvre - Mercerie veuve Niquin - Maison A. Martel - A l'Epargne (p. 85-86) - La Sous-Préfecture d'Alès, plus de deux siècles d'existence (p. 87-88) - Ces vieux commerces disparus : Champeyrache Blanc - Aux Dames de France, Paris-Alès - Au Gaspillage, maison Lamarque - A la Cité, maison Maubon - Parisiana - Maison Dizier - Bouchara - Faïsse, tissus - Au Printemps - Régina - Au Sans Pareil - Au Myosotis - Maison Edmond Trellis - Vaute, instruments de musique (p. 89-90) - La rue Sauvages, autrefois, côté pair, ses nombreux commerces (p. 91-92) - Alphonse, comme Moïse sauvé des eaux, dans son berceau (p. 95-96) - Hôtels, restaurants, les bonnes adresses d'Alès, autrefois : Le Riche-Hôtel - Grand Hôtel du Luxembourg - Grand Hôtel - Grand hôtel Terminus - Modern Hôtel - Hôtel du Mont-Dore - Hôtel du Nord - Hôtel de Paris - Bouillon Duval - Restaurant de l'Evêché (p. 97-98) - Bouchaïd, fan de l'Olympique Alésien (p. 99-100) - Le commandand Xavier de la Mareille, figure de jadis (p. 101-102) - Alais et la Grande Guerre 1914-1918 : extraits du carnet du poilu alésien, le caporal Eugène Bayle, mort au Front en 1915 (p. 103-104) - La musique des pupilles des sapeurs-pompiers d'Alès (p. 105-106) - Le Fort Vauban domine la ville (p. 107-108) - Les heures douloureuses du Fort Vauban sous l'Occupation (p. 109-110) - Noël en Cévennes, autrefois (p. 111-112) - Jour de l'An cévenol, autrefois (p. 113-114) - Les grands cafés d'autrefois à Alès, disparus de nos jours : Grand Café de France - Le Grand Café - Café de Paris - Café de la Bourse - Café de la Terrasse - Café Bar Express - Café du poids public - Grand Café d'Europe - Café du Luxembourg - Café des Palmiers (p. 115-116) - La gare routière date de 1956 (p. 117-118) - Ces statues et bustes disparus (p. 119-120) - L'Ermitage, ancien oppidum, haut-lieu chargé d'histoire (p. 121-122) - L'hiver terrible en février 1956 (p. 123-124) - Le C.A.M.A. (Cercle Amical des Mineurs d'Alès) , un club de légende (p. 125-126) - Le pont de Rochebelle, dit du marché, sept siècles d'histoire (p. 127-128) - Le pont Vieux est le plus ancien des ouvrages sur le Gardon (p. 129-130) - Quand Rochebelle était en fête sur la place Rouge : en 1948, l'Entente rochebelloise a organisé une fête de quartier qui a duré dix jours (p. 131-132) - L' Etoile sportive des Métaux de Tamaris, un club de légende (p. 133-134) - Les " enfants de l'hôpital ", jadis, travaillaient la terre à Servas (p. 135-136) - La colonie de Servas accueillait aussi les filles de l'hôpital (p. 137-138) - Quand Tamaris faisait la fête à Pentecôte, place des Forges (p. 139-140) - Quand le coeur de Tamaris battait au rythme de l'usine (p. 141-142) - Tamaris, place de l'église, rue Pressensé (p. 143-144) - Monarchistes et Républicains s'affrontaient pour les élections (p. 145-146) - La Royale, au temps de la mine (p. 147-148) - Ces anciens commerces très prisés des alésiens, jadis : Maison Louis Blachère - Au Grand Saint-Antoine, charcuterie fine - Cabane et Folcher, boucherie - Maison Etienne Mouriès, alimentation - Maison Gardès - Morue brandade, E. Jeanjean - Maison Arnal - Maison Bosquier, fruits, légumes, primeurs - Antoine Terrada - Maison Louis Polge, confiserie - Crèmerie Coulet - Alimentation Médard (p. 149-150) - Le Bosquet, havre de verdure (p. 151-152) - La ligne Alais-Nîmes : construite pour le transport du charbon (p.153-154) ; ouverte au service des voyageurs en 1840 (p. 155-156) - Quand Alès accueillait le Tour de France ; évocation de l'alésien Ferdinand Payan (p. 157-158) - Le 14 juillet autrefois à Alès (p. 159-160) - La rue Rollin au siècle dernier (p. 161-162) - Jean-Baptiste Dumas, candidat en juillet 1846, aux législatives (p. 163-164) - Congés d'été, jadis, au temps de l'exploitation des Houillères (p. 165-166) - En été, le Gardon et le Galeizon étaient très prisés des alésiens (p. 167-168) - La J.S.A. (Jeunesse Sportive Alésienne), club mythique du basket local (p. 169-170) - L'école et les rythmes scolaires (p. 171-172) - Le 1er octobre, c'était la rentrée (p. 173-174) - Jadis, la Jeunesse Sportive Alésienne (J.S.A.) était présente sur tous les fronts du sport régional (p. 175-176) - L'Etoile sportive saint-martinoise fut un club (de football) phare du Bassin (p. 177-178) - La mairie, un des plus beaux et anciens bâtiments de la ville (p. 179-180) - La rue du Doyenné est une des plus anciennes ruelles de la ville (p. 181-182) - La rue La Fare-Alais est une des rares vieilles artères d'Alès (p. 183-184) - Quand Aès comptait 6 cinémas : le Casino, le Capitole, le Rex (tout d'abord le Familia), le Lux, le Royal, le Rio, auxquels on peut ajouter le Vox de Tamaris (p. 185-186) - Le Monuments aux morts d'Alès date de 1925 (p. 187-188) - A travers le vieil Alès jusqu'au milieu du siècle dernier (p. 189-190) - Ce vieux marché, hélas disparu (p. 191-192) - Les quais, protection de la ville contre les colères du Gardon (p. 193-194) - Les belles sorties, jadis, sous le patronage de l'abri Saint-Joseph (p. 195-196) - Les fêtes de Noël, autrefois en Cévennes (p. 197-198) - Jour de l'An sous l'Occupation (p. 199-200) - Les très riches heures de l'auberge du Coq Hardi (p. 201-202).
Documents en relation
Voir aussi BIB 658
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